Sous la surface

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Aller Mme Propre

leissen

Tout ce que je te souhaite, c’est d’y arriver ! Sans ces pilules de mes deux..

Byye la mamzelle qui me donne envie d’écouter certains monsieurs ;) (je ne sais pas si c’est à moi que tu t’adressais dans un autre écrit.. Sûrement pas, mais je l’ai quand même pris pour moi, tant pis)

Je vais essayer, leissen, je vais essayer…

Effectivement, c’était plus au sieur Bilou que je pensais, mais je me souviens bien de ton écrit "Between the bars", donc tu peux considérer que c’était aussi à toi que je faisais référence… ;)

bilou

Pour ma bambou que j’ai encore manqué hier soir sur msn :/

Tout le monde y pense,
Les hommes, les anges, les vautours,
Y a plus de distances,
Personne qui ait les bras trop courts,
Tout le monde espère,
Même à l’arrière des arrière-cours,
Tout le monde veut son billet retour,
D’amour, d’amour, d’amour, d’amour.

Son éclat de chance,
Celui qui vous brûle, vous inonde,
Mais le ciel s’en balance,
Puisqu’il y en a pas pour tout le monde,
Y a des gens plein les urgences,
Sous les lumières des abat-jour,
Qui attendent leur billet retour,
D’amour, d’amour, d’amour, d’amour, d’amour.

Ces anges qui dansent,
Sur ces pistes trempées d’alcools,
Dans ces caves immenses,
Les cheveux collés aux épaules,
S’envolent en silence,
Et s’éparpillent au petit jour,
En cherchant des billets retour,
D’amour, d’amour, d’amour, d’amour, d’amour.

Ces femmes qui s’avancent,
En tenant au bout de leurs bras,
Ces enfants qui lancent,
Des pierres vers les soldats,
C’est perdu d’avance,
Les cailloux sur des casques lourds,
Tout ça pour des billets retour,
D’amour, d’amour, d’amour, d’amour, d’amour.

Les hommes, les anges, les vautours...
Personne qui ait les bras trop courts...
Tout le monde y pense…

bilou

Leissen : Tu es fan d’Elliott (Between the bars) ou c’est juste une coïncidence ?
J’aimerais bien savoir…

leissen

Ca fait un an et demi que je l’aime ;) Y a pas mieux que lui pour réconforter.

bilou

Alors tu fais partie de mes amies maintenant. A la vie à la mort.

Pas de "hum hum" cette fois ma ninie…

Je déconne jamais avec Elliott.

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