jack bower..
varana
Un petit mot pour rien. Parce qu’une putin de larme à lire cet écrit, parce raconté trop bien ce que je vis.
Cet état de "on s’y fait", "même plus étonnée", avec en même temps cette grosse blessure à l’interieur, qu’on à accepté mais que l’on deteste, cette déception prévisible, mais qui fait mal à en crever.
bref.
voilà, courage.
Un peu beaucoup bu ce soir, m’éxcuse pour ces mots maladroits, insensés, à coté.
Allez ma belle, on le rencontrera, ce troisième homme qui nous aime… :-)
Biz