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moi
je pense réellement qu’on ne part que pour revenir un jour, on n’oublie difficilement ce que l’on est et d’où l’on vient, c’est sans aucun doute l’une de plus grandes peines que l’on doive supporter, le "souvenir" ancré au plus profond de nous…
c’est marrant que tu parles de l’atmosphère et du fait que tu ignorais que ça pouvait devenir un souvenir, c’est ce qui reste le plus "tatoué" chez moi les atmosphères, enfin juste après les mots…
gros câlin ma tite cajou chérie :-)
"Il faut toujours viser la lune car en même en cas d’échec on atterrit au milieu des étoiles." Oscar Wilde