Sous la surface

← Retour au journal

novembre 2009

All the things...

Je ne sais plus pourquoi je l'ai appelé, le manque, probablement. Il me manque tellement à cet instant précis que j'aimerais l'avoir pour moi, pour moi toute seule, un jour ou deux. Tout le monde aimerait l'avoir pour soi tout seul, il est juste génial. Mais c'est bien égoïste comme souhait. Il n'est plus là pour me protéger et c'est tant mieux. Maintenant je suis assez forte pour veiller sur moi. Et ces crises de rire, elles sont si rares désormais. Qui me ferait rire ainsi? Mais quand on rit, on pleure aussi, alors... Il me comprend. Je me souviens. Je me souviens d'un (...)