De la saveur des regrets...
Avant/après chaque grosse décision, il revient sur le tapis…
Bizarre, non ?
Bientôt une semaine, je lui parle au départ d’un truc qui n’a rien à voir, et bam, je me retrouve en larmes à dire de ces choses que je n’ai dites qu’ici.
... que je ne regrette rien à part ça… de n’avoir pas répondu, une fois, au téléphone éternellement en mode silence, pauvre conne…
Et deux heures plus tard, vlan, j’envoie valser un truc énorme, je tire un trait sur tout un avenir, toute une vie, possibles.
Alors je m’efforce de répondre à sa question pour la prochaine fois :
"Vous regrettez quoi au juste?"
Si seulement je le savais…
Cet après-midi, un appel manqué, de là-bas. Un numéro que je connais pas. Ca n’arrive plus si souvent. Sûrement une simple erreur. Pas de message, une seule tentative.
Mais je ne peux pas _je ne peux pas_ m’empêcher de penser (d’espérer?) "C’est peut-être lui?"
Parce qu’il faudra bien que ce soit lui, un jour ? Non ?