Sous la surface

Une histoire triste. Juste triste.

Je me suis mise à lire mes archives. Je ne sais pas pourquoi. Je ne sais jamais le pourquoi de rien. Ni de mes actes, ni de mes sentiments. C’est agaçant…

Enfin je suis retombée sur des textes… un peu durs à relire. Sur une période que je souhaite oublier.

Avec le recul, je vois toujours celle que j’étais comme une étrangère.

Et en lisant mes écrits du mois de juin dernier notamment, en particulier le dernier, et puis d’autres encore… Je ne sais pas non plus, je ne sais rien, mais je me demande si je n’ai pas fait une connerie. Objectivement, je suis toujours persuadée que non. Mais quand je me relis, quand je perçois à quel point c’était un sacrifice, je me dis que finalement j’ai envie de crier à celle que j’étais "Putain, mais arrête ça ! Va te prendre ton mur et reviens pleurer après."

Je ne sais pas. C’aurait peut-être été encore été encore plus dur après. Oui, c’est sûr même…

C’est juste que je trouve ça triste.

Mais c’est fini à présent. Ca n’arrivera plus.

Allez, un p’tit coup de "Miss Misery" en souvenir du bon vieux temps, et on referme l’album photo…

NB : ne plus jamais relire mes écrits du mois de juin.

Post scriptum

Le pire, c’est que je fais encore trop souvent ce rêve-là. Ce rêve imbécile.

J’ai beau m’en défendre, je ............................... encore.

J’adore ce mot, "encore"; je trouve que sa sonorité exprime totalement ce qu’il signifie. Encore…